Alassane Ouattara Indéboulonnable Depuis Des Années

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Comment battre le président en exercice ? Voici la question la plus difficile à résoudre pour une opposition édentée, qui n’a pas su passer la main au véritable vainqueur des consultations présidentielles de 2010.

Aujourd’hui, la Cote d’Ivoire renait. Le programme national de développement ne finit pas de faire des heureux. La liste des actes pour l’amélioration des cadres de vies de ses concitoyens va grandissante. Au fil du temps et de l’avancement serein de son plan de redressement de la Cote d’ivoire, le président Ouattara hante les nuits de ses adversaires politiques.

Récemment, Lider encore une fois a lancé, pour ne pas dire relancer son appel  à la création d’un front tous sauf Ouattara. Se met-on ensemble contre une personne qui n’a pas l’assentiment de son peuple ?

Mais à y voir de prés, la proposition de Lider n’est pas nouvelle. Combien de front anti-Ouattara notre pays n’a t’il pas connu ? Depuis son avènement comme premier ministre à aujourd’hui comme président. Le docteur Alassane Ouattara ne fait que des jaloux. Et cette jalousie et méchanceté se traduisent par les multitudes de clubs tels que voulu par Lider.

Comme nous l’avons dit, un front anti-Ouattara a déjà existé et la formule n’est pas nouvelle. La curiosité de ce front s’il voit le jour avec la batille qui vient de s’engager entre Lucky Luke (Mamadou Koulibaly) et les Daltons (FPI), est aussi bien son leadership qu’à  l’opportunité d’une telle conglomération d’aigris  à objectifs inavoués. Cette philosophie Ivoiritaires défendu par Lider a commencé plusieurs années en arrière et a varié en fonction du tenant du pouvoir d’Abidjan :

1 – L’alliance FPI – Udpci : cette alliance que la rue a ironiquement appelé « western union » avait été une création dans les années 1999-2000. Le même et seul objectif avait été de denier au président Ouattara de présider aux destinées de son pays alors dans l’opposition. Le fait majeur de cette alliance avait été d’organiser une réunion des acteurs de la scène politique ivoirienne afin de lancer des piques au fils de Nabitou Cisse. Gbai Tagro avait eu la lourde et honteuse tâche de conduire les opérations. C’est ainsi qu’il avait pris stratégiquement place juste derrière le président afin de lui crier  à l’oreille des insanités dont le FPI seul en a des secrets. Cette alliance  à elle seule porte une lourde responsabilité dans ce que la Côte d’Ivoire a connu ces dix dernières années. Elle rappelle l’épisode O combien triste du « et » et « ou », qui a conduit à l’adoption d’une constitution inique. Pour rappel, le vote de cette constitution s’est déroulé sur deux jours (48 heures) contre notre loi elle-même et contre les fondements du jeu démocratique.  Coordinateurs de l’opération TSO : Guei robert – Gbagbo Laurent.

2 – Le Front patriotique : encore le FPI  à la commande avec comme partenaire le Pdci. Les deux Laurent ont fait voir des vertes et des pas murs aux militants Rdr. Dans quel but ? Le même. Denier à un digne fils son droit de postuler  à la magistrature suprême. Casser du Rdr  à souhait. Avec cette alliance, est apparu dans notre vocabulaire politique, le concept du charnier, des assaillants et surtout du « mossi ». Une autre alliance avec acteurs différents mais la même raison d’exister que la précédente : ADO. Comment peut-on avoir peur d’un adversaire politique jusqu’à la compromission morale. C’est le lieu de rappeler que le Pdci, on ne le dit pas assez a été très actif dans l’extermination des militants Rdr par les milices de Gbagbo à cette période. Le pouvoir est dans la rue avec tout ce que cela a entrainé comme manifestations politiques avait été arrêté de commun accord entre le Pdci et le Rdr. Grande fut la surprise des militants du Rdr de se retrouver seuls dans la rue face  à la machine à tuer de Gbagbo alors que cette manifestation avait été décidée de commun accord entre les directions politiques du Rdr et du Pdci. Ce fut la grande épopée des « TSO » celle la. Coordinateurs de la répression anti-Ouattara : Laurent et Simone Gbagbo.

3 – Les Patriotes ou La Délinquance Institutionnalisée: le 19 septembre 2002, des soldats de l’armée ivoirienne se rebellent après une tentative infructueuse de prendre le pouvoir d’état. Au lieu de se focaliser sur ceux qui avaient mémé l’offensive, les militants du FPI conduits comme toujours par leur manitou LG entament sur une série d’actions visant aussi bien le président du RDR que ses militants. Pour eux, l’occasion était belle de s’en prendre  à celui qu’ils ont toujours détesté. Apres avoir assassiné le général Guei Robert, son épouse, son aide de camp et tout le personnel de travail à domicile, les patriotes militaires se dirigent chez ADO. La suite nous la connaissons, le président Ouattara regagne la France pour une longue période d’exile. Entre temps, ce sont les exactions, les crimes de tout genre, qui prennent place à Abidjan et la zone sous le commandement de Gbagbo et sa femme Simone.

La Cote d’Ivoire connait à cette période sa plus grande instabilité politique jamais vécu. Les patriotes ou la délinquance institutionnalisée s’en prennent  à tout spécialement du Dioula, du musulman et de l’étranger. La seule et véritable raison derrière cette répression est d’obtenir de Ouattara son retrait de la scène politique.

4 – La « majorité » Présidentielle : Heureusement que Affi l’appelle l’ex majorité présidentielle, proclamant ainsi sa mort. Pour les élections, seule une alliance pouvait arrive à  bout de Ouattara se sont ils dits. En un mouvement, on assiste à la venue d’une nouvelle entité, la majorité présidentielle. Beau nom, très tendancieux mais qui rassemble en lui, les différents échecs, frustrations et rancœurs de ceux la même qui n’ont jamais pu résoudre l’équation Ouattara. Une formation, qui se caractérise par sa haine de l’étranger, des militants du Rdr en premier et ceux du Rhdp en second. Les élections donnent pour vainqueur le Rhdp avec son cheval ADO. Les fusils sortent, la LMP montre sa face hideuse de tueurs et de criminels. Des populations sont assassinées à ciel ouvert. La guerre n’est plus loin. C’est ainsi que les forces gouvernementales mises en place par le pouvoir élu entrent dans la danse et apportent secours  à tout un peuple, en détresse et à la portée d’aussi bien des miliciens que des mercenaires angolais et libériens de Gbagbo. Aux forceps, La Cote d’Ivoire  à son président élu, son armée unifiée et un peuple en quête de paix. L’heure de la reconstruction a sonné avec pour leader, l’épouvantail du clan Ggagbo et Simone sans oublier toute la clique de haineux qui ont injecté la théorie de la haine dans l’air de paix Ivoirien.

5 – Le CNRD : une seule raison unifie les militants de ce regroupement. La haine pour le président des républicains. Mais  à la différence des LMP pures c’est-à-dire transfuges du FPI, les militants du CNRD étaient recrutés sur les critères suivants : les déçus de l’Udpci qui avaient poussé le général vers la route de Kabakouman en n’arbitrant pas dans la neutralité la transition. Les nouveaux venus de la sphère Anti-Ouattara qui avaient trouvé juste de créer cette structure et se faire remarquer par les leaders de la fronde à  savoir le couple Gbagbo et enfin, ceux qui au delà de détester ADO étaient guider par le soucis du lendemain, des prébendes et du gain facile. Cette structure moribonde est aussi une illustration du fait de « L’indeboulonnabilitee »* du président Ouattara.

6 – L’appel de Lider ou La Résurrection De La Philosophie « TSO » : derrière une mine de soucieux se cachent les plus grands tourmentés par le succès du  président Ouattara. Lider appelle et continue d’appeler à une organisation, un semblant d’unité contre Ouattara en 2015, juste en 2015. Sans veritable proposition pour le peuple. C’est appel a déjà trouvé une réponse : Lettre morte. Cependant, il était important de les associer à cette liste afin d’expliquer les tentatives déjà mises en place pour venir  à bout du président Ouattara, L’indéboulonnable.

* pour dire indéboulonnable

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