Suite aux dernières informations relatives à la volonté des autorités Ivoiriennes de favoriser la décrispation de la scène politique et suite à la venue de Mr Gossio, ex Dg du port autonome d’Abidjan et en exile au Maroc depuis deux ans, le ministre Hamed Bakayoko avait fait un clin d’œil à Katina Kone en ces termes : « « J’ai dit à la direction du FPI qu’il est vrai que la Côte d’Ivoire a émis un mandat d’arrêt contre Koné Katinan, mais s’il arrive demain à l’aéroport, on ne peut pas l’arrêter » ; selon les écrits du journaliste.
A l’occasion de sa rencontre avec le ministre Burkinabé des affaires étrangères, le MEMIS s’est voulu précis quant au dossier Katina et de tous ceux qui trainent encore les pieds pariant sur un renversement anti-démocratique des institutions en place : « Je le répète, Katinan malgré tout ce qu’on a pu lui reprocher, malgré le fait qu’il y ait un mandat d’arrêt, si dans le cadre de cette fenêtre d’opportunité il revient, il ne sera pas arrêté. Je dis bien, une fenêtre d’opportunité parce qu’avec les autorités ghanéennes, nous avons convenu qu’à un moment donné, cette fenêtre va se fermer.
Ceux qui seront pris là-bas n’auront pas le même traitement. Donc, je fais la différence entre quelqu’un qui vient librement comme Gossio, dans un esprit de réconciliation et de paix ; il a un traitement qui est prévu.
Et puis, si ceux sont des gens qui sont expulsés parce qu’après avoir fait le point avec les autorités ghanéennes qu’on décide que tous ceux qui sont encore là-bas et qui continuent d’avoir des projets parasites, à partir de ce moment-là je ne peux pas garantir. Il ne faut surtout pas rater la fenêtre d’opportunité. Elle se referme quand ? Je ne sais pas. »
Voila une position que nous qualifions de claire. Reste à savoir ce que feront les extrémistes et exiles du FPI toujours en train de roder autour de notre pays, prêt à lui porter le coup de fenêtre. La fermeté aura droit de citer…
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