Ouverture des travaux de la 7ème Conférence du TAC : Alassane Ouattara et Marc Kaboré saluent les progrès réalisés

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Les relations entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso sont au beau fixe. En témoigne la 7e Conférence du Traité d’Amitié et de Coopération entre les deux Etats. Ce matin, à la faveur de l’ouverture des travaux de la conférence, le Président de la République Alassane a mis un point d’honneur sur les prouesses et autres progrès réalisés depuis près de dix ans par cet important outil de coopération. Le TAC pour le président Ivoirien est le témoignage du lien fort qui existe entre les deux pays. « Nous pouvons légitimement être fiers du chemin parcouru dans notre quête inlassable d’intégration et dans la mise en œuvre des accords et des chantiers prioritaires qui répondent aux préoccupations de nos populations grâce à une synergie de nos deux économies. Les enjeux de cette 7e conférence au sommet sont liés à la réalisation des décisions et des directives que nous avons prises ensembles lors de la 6e conférence du TAC en juillet 2017 à Ouagadougou. Et des progrès notables sont à souligner », a salué le président Ivoirien. En termes de réalisation, Alassane Ouattara a passé en revue les grands projets notamment l’autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou dont les travaux ont démarré depuis le 02 octobre 2017. L’augmentation de la fourniture d’électricité au Burkina Faso. Ces résultats pour le chef de l’Etat sont à encourager et saluer. Terminant, il a partagé son optimisme quant au succès de la conférence, mais surtout de la consolidation des relations entre le Côte d’Ivoire et son voisin. Le président Rock Marc Kaboré a d’abord exprimé la compassion de son peuple à la Côte d’Ivoire pour les victimes des inondations des 18 et 19 juin dernier. Il a comme son homologue ivoirien mis en avant les fruits du TAC. « Le TAC s’offrent à nous comme un excellent outil pour apporter des réponses appropriées à la question de sécurité dans nos deux pays », a noté le président Burkinabé. Les résultats enregistrés selon lui sont imputables au dynamisme du TAC, moteur de la coopération bilatérale entre les deux pays frontaliers.

Auteur : Cheick Diawara

Source : Lementor.net

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