Guillaume Soro, le politicien « flafla » est au bord du désarroi. En pleine panique, dans une débandade sans pareille, Soro Guillaume est dans la faillite ; celle-là psychologique.
Les hommes du premier cercle du député de ferke sont passés de la sérénité à l’inquiétude totale. Soro, selon notre source, a doublé sa dose de liqueur et de boissons fortes depuis l’atterrissage de son jet privé en provenance du Ghana. Il rumine venge et ne décolère pas contre Ouattara mais surtout contre l’entourage de celui-ci. Il est remonté et fâché avec tout et contre tous.
Dans cette situation où le temps ne joue pas à sa faveur, où chaque seconde et minute compte, Guillaume Soro a choisi, pour le peu de lucidité qui lui reste, de procéder par mensonge et par menace.
Dans cette tournante mêlée de peur, Soro a décidé de tordre le coup à la vérité historique sur la rébellion. Imputer la responsabilité de la rébellion à Ouattara pour se voiler la face mais surtout noyer le poisson dans cette nouvelle affaire d’écoutes téléphoniques.
En vérité, la rébellion de 2002, c’est Ibrahim Coulibaly et non Soro Guillaume. C’est avec l’aide d’un noyau dur autour de Blaise Compaoré que Ibrahim Coulibaly a été purement et simplement déposé à la faveur de Guillaume Soro, plus fréquentable et malléable. A la défaveur de Ibrahim Coulibaly à cette époque déjà, était son désir ouvert de prendre le pouvoir lui-même et mener une transition. Ce que les soutiens extérieurs de la rébellion ne cautionnaient pas.
Ce qui est important de retenir est que ce n’était pas une rébellion faite par Soro pour Ouattara, mais une rébellion faite même à l’insu de Ouattara et du RDR par Ibrahim Coulibaly, qui voulait le pouvoir lui-même.
Comment est ce que la rébellion peut être faite pour Ouattara alors que lui-même a failli y laisser la peau n’eut été l’appui, la fermeté et la collaboration sans calcul de son voisin, ambassadeur de l’Allemagne à l’époque.
Ouattara a failli perdre la vie en 2002, parce que comme tous, la rébellion n’était pas son affaire. Le RDR, dans un jeu difficile et contraint a dû faire de l’espace à une force politique armée, qui à des moments donnés a bien faillit le dévorer.
Tout ce mensonge, en représailles des actions du pouvoir afin de l’emmener devant la justice et répondre des accusations semble-t-il établies de déstabilisation de la Côte d’ivoire, d’atteinte à l’intégrité physique des pontes de l’état et aussi de détournements de deniers publiques.
Cependant, Le coup le plus dure pour le « cafouilleur » générationnel a été la saisine de sa « maison » à Marcory en ce jour. Face à cette situation, l’ex-PAN change de tactique et passe sans sourciller du mensonge à la menace….
De bonnes sources, Soro Guillaume soutient avec fermeté que si d’ici demain (aujourd’hui jeudi 26 décembre 2019) midi sa « résidence » de Marcory ne lui est pas restitué, voir libérée par les forces de l’état, il est prêt à partager et à faire partager à la presse des informations compromettantes, tout ce qu’il sait et/ou semble savoir sur le président Ouattara.
Soro soutient mordicus détenir des écoutes sur Ouattara, lui aussi et détiendrait des copies de chèques remis à la famille du président. Il dit à qui veut l’entendre ne plus rien à perdre dans la vie…
Panique, débandade, faillite morale et psychologique à quelques heures de la sortie du procureur ce jeudi 26 décembre 2019 où le commencement du versement de preuves débutera contre Mr Guillaume Soro, président de génération et peuple solidaire.
Source : Lementor.net
