Bamba Alex Souleymane dévoile les non-dits de l’adresse de Ouattara devant le Congrès: « Ceux qui prétendent avoir été déçus (…), devraient plutôt applaudir »

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Très attendu depuis l’annonce de son adresse à la nation, Alassane Ouattara s’est livré à un exercice de grand art le mardi 18 juin 2024, devant le congrès (Assemblée Nationale-Sénat).Témoins privilégiés, les Ivoiriens ont suivi en direct, le message ô combien profond et chargé d’histoire du chef de l’Etat. A la face du monde, urbi et orbi, le premier citoyen ivoirien a fait montre de sa maestria politique. Il a brossé un tableau clinique du pays en portant à l’attention générale, une kyrielle de réalisations de grandes références. Ainsi en a-t-il été, des succès économiques, sociales, organiques, stratégiques, de fraternité, de paix et de cohésion sociale. 

Le chef de l’exécutif ivoirien a prouvé à la communauté nationale et internationale, combien il est fier des réalisations effectuées pendant près de 15 ans. Pour lui, cela a été possible parce que la volonté d’agir a été plus forte. L’exercice grandeur nature auquel le chef de l’exécutif ivoirien s’est livré, est politiquement, d’ordre thérapeutique. C’est le type d’adresse qui rassemble, apaise et unit tous les citoyens dans un élan de fraternité inaltérable. Et cela a été le point d’orgue de cette prise de parole solennelle. 

Aussi, les nombreux sujets abordés sur l’état et la marche de la nation, ont-ils démontré la vitalité de l’économie ivoirienne et, mis en lumière ; les réalisations exceptionnelles et exemplaires du magister du Président Ouattara. Du reste le bilan qu’il a brossé de sa gouvernance, traduit à l’envie, des résultats concrets, visibles et palpables, aussi bien par les Ivoiriens, les Africains et le reste du monde émerveillé par la marque de fabrique de l’orfèvre Ouattara.

LE GARANT ET L’INCARNATION DE L’UNITÉ NATIONALE

Abdelaziz Bouteflika, Président de la République d’Algérie pendant 19 ans (1999-2019), déclarait vers la fin de sa vie : « J’ai réaffirmé ma volonté politique de travailler à l’unité nationale ». « Travailler à l’unité nationale ». Voilà toute la substance, la substantifique moelle, la quintessence de l’adresse du Président Alassane Ouattara qui, par là même, a agi selon les pouvoirs et les prérogatives qui lui sont conférés par l’article 34 de la  Constitution : « Le Président de la République est le Chef de l’Etat. Il incarne l’unité nationale. Il veille au respect de la Constitution… »  

Lire ou appréhender son discours du 18 juin, devant le congrès réuni en ses deux chambres, en dehors de ces paradigmes est un non-sens. Et pour cause, le chef de l’Etat, depuis son accession à la magistrature suprême à l’issue du 2e tour de l’élection présidentielle de 2010, n’a eu de cesse de rechercher le consensus national, ce d’autant que le pays vivait une crise sans précédent. La réconciliation et la paix étaient des impératifs absolus au même titre que la reconstruction et la relance de l’économie qui était alors quasiment en lambeaux. 

C’est une adresse à l’intelligence des Ivoiriens parce qu’il est Président de la République, chef de l’Etat. Tous les citoyens de la Côte d’Ivoire sont égaux en droit et en devoir devant son magister. Ce qui est conforme à l’esprit  de l’article 2 de la Constitution, alinéa 2, qui énonce : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux devant la loi. » Lorsqu’il campe son rôle de Président de la République, comme en pareille circonstance, il n’a pas de préférence car il est le Président de tous et il agit en père de famille. 

Au moment où il s’adresse à la nation, il parle à l’intelligence de chacun. Sa volonté de prendre date avec les Ivoiriens est indubitable. Avec ses compatriotes, il était opportun et nécessaire qu’à ce moment précis du cours de l’histoire de la Côte d’Ivoire, il fît avec eux le bilan rétrospectif du chemin parcouru ensemble. A résumer sa pensée ou son discours de manière prosaïque et empirique  Ouattara a dit ceci à son peuple : « Voici ce qui n’existait pas et vous pouvez constater au fur et à mesure, au fil du temps ; ce qu’il a plu à Dieu que je réalisasse. 

Et cela n’a été possible que grâce à notre unité et solidarité agissante, à nos forces sociales et intellectuelles engagées pour l’intérêt général et non partisan ou sectaire ; autrement dit au profit des Ivoiriens et pour le bonheur du peuple ivoirien en matière de construction en matière de redressement fiscal, d’économie, de stratégie, de diplomatie et en matière de respect sur l’échiquier mondial. C’est cette union, cette concorde qui nous a permis de réaliser l’organisation à nulle autre pareille de la coupe d’Afrique des nations, la CAN la mieux organisée depuis qu’elle existe depuis 1965. 

Et il a plu à Dieu, au regard de notre symbiose, que nous remportions la coupe alors que le premier tour avait failli nous être préjudiciable et préjudiciel. Les voies du Seigneur sont insondables ! C’est la félicité divine qui a agi et s’est manifesté dans son immanence et sa puissance. Nous en sommes heureux et c’est unis ensemble que nous devons le rester. »

C’est donc bien là, paraphrasé, le cœur de l’adresse du Président de la République aux Ivoiriens. Cela est, de très loin, plus important que ce que certains Ivoiriens s’attendaient qu’il fît ou qu’il dise.  

Il a souligné avec force argument que l’union fait la force ; que c’est à l’unisson que l’on entonne et chante les plus belles hymnes. Il s’agissait pour lui moins de venir emboucher la trompette d’un camp contre d’autres camps. Non. C’est le chef de l’Etat qui s’exprimait, qui parlait à la Côte d’Ivoire, à l’intelligence des Ivoiriens qu’il respecte. C’est ce que les Ivoiriens doivent retenir : cette confiance placée en lui, véritable catalyseur et source de motivation qui lui a permis de bâtir tout ce qu’ils voient aujourd’hui et qui fait la fierté de toute la nation. 

Il était donc bon qu’à l’approche des échéances de 2025, il leur fasse un bilan, comme on le fait aux USA, en France. Le Président s’est ainsi adressé au peuple de Côte d’Ivoire via l’Assemblée nationale et le Sénat. Cet aspect est éminemment important au plan organique, structurel et législatif voire de la légalité républicaine. Le président de la République ne pouvait pas, dans un tel exercice de rassemblement des Ivoiriens dans le même creuset unitaire, unité de conception, de pensée et d’action, tenir un discours de parti pris ; un discours de clan, de club ou de cercle. Un discours inféodé à tous ces nouveaux mouvements nés çà et là et dont il n’est pas lui un familier. 

Du haut de son piédestal, il est des codes d’honneur à ne pas enfreindre vis-à-vis du peuple et de cette fonction suprême. Il le tient du père fondateur Félix Houphouët Boigny dont il a été le disciple assidu. Les enseignements reçus au nombre desquels la technique de gouvernance sont des leviers importants. Le Président Ouattara a donc parlé à l’intelligence des Ivoiriens en leur disant nous sommes ensemble ; je ne viens pas ici pour prendre parti. 

Cette tribune n’est pas une tribune où je ferai des annonces politiques, partisanes ; si je devais dire aux Ivoiriens que je serai candidat que je ne serai pas candidat, à ce moment-là ce n’est pas à l’intelligence des Ivoiriens qu’il parlerait. Et il considère, à raison ou à bon droit, qu’il y a d’autres instances de son parti qui seront le cadre pour faire des annonces. A ce moment-là ce sera approprié. Il a respecté les Ivoiriens, il a parlé à la nation à laquelle appartiennent tous les Ivoiriens. C’est un grand monsieur à l’intelligence de silex, qui a compris le monde et qui aime ses compatriotes. 

Ceux qui prétendent avoir été déçus parce qu’ils s’attendaient à autre chose, devraient plutôt applaudir. C’est un bel exemple de détachement ; ce dont beaucoup de chefs d’Etat en Afrique et ailleurs sont incapables. Lui, s’il en a été capable, c’est parce qu’il a une vision pour la Côte d’Ivoire et qu’il sait faire la part des choses. Il y a des tribunes où l’on dit certaines choses qui concernent tous les Ivoiriens et d’autres tribunes où l’on dit certaines choses qui concernent ses partisans propres. Là, il n’y avait que des Ivoiriens dont il est le chef, c’est-à-dire qu’il a été élu par eux tous.

Les exégètes dans son camp ou dans les autres devraient l’avoir compris. Et je ne suis pas certain que nombre d’entre eux aient compris l’exégète que je suis qui décrypte les messages, les analyses en profondeur pour en livrer le sens occulte ou d’apparence caché voire insaisissable par le vulgum pecus. Chapeau monsieur le Président. Par ailleurs et c’est incontestable, le plenum, d’élus de la nation, députés et sénateurs, des deux chambres ne sont ni unicolores ni monocolores. La pluralité politique et démocratique dans ces assemblées s’y exprime de plein droit. 

Ainsi, il aurait été malséant que le Président s’adressât à l’intelligence des Ivoiriens en faisant une compartimentation qui ne relèverait que de son parti politique dont le fonctionnement est défini par la constitution ivoirienne, ce qui est valable pour les autres partis politiques. Les élus de l’Assemblée nationale et du Sénat sont traités de la même façon quelles que soient leurs obédiences ou chapelles politiques. La finalité de cette exégèse, on l’aura bien deviné, est d’amener les Ivoiriens à comprendre comment fonctionne l’Etat de Côte d’Ivoire, les outils dont disposent les gouvernants pour qu’au plan légal et réglementaire ils posent des actes entrant dans l’expression de la démocratie stricto sensu.  

Amener les gens à comprendre la quintessence du message du chef de l’Etat et de ses actions ; loin de tout sectarisme dont raffolent certains esprits champions dans la trahison et de la ronde des valses politiques. 

Le Président de la République est au-dessus de toutes les mêlées comme la constitution le dispose. Personne ne peut lui imposer ce qu’il pense, même pas le parti dont il est supposé provenir, dès lors qu’il endosse le manteau de chef de l’Etat au nom de tous les Ivoiriens sans exception. ; c’est une question de culture politique, de démocratie et d’élévation d’esprit. 

C’est in fine ce qu’il convient de retenir de la quintessence de cette adresse de très belle facture du Président de la République, même si autour de la thématique centrale de l’unité nationale, ont gravité d’autres thématiques se cristallisant en l’énumération des si nombreuses réalisations faites depuis un peu plus de 13 ans.

UNE ÉCONOMIE IVOIRIENNE ROBUSTESSE ET  RÉSILIENTE

De la présentation des principaux axes de ses actions de développement en faveur de la Côte d’Ivoire depuis son avènement à la tête de l’Etat à l’issue de l’élection de novembre 2010 certifiée par la communauté internationale, l’on retient en outre que le Président Alassane Ouattara s’est félicité de la robustesse et de la résilience de l’économie ivoirienne. 

« La Côte d’Ivoire continue de démontrer sa résilience après la pandémie de covid-19. En 2023, l’activité économique est restée robuste avec un taux de croissance de 6,5% et cette résilience de l’économie ivoirienne s’appuie sur un cadre macroéconomique solide et une gestion saine des finances publiques », a-t-il déclaré.

« La dette est maîtrisée, les équilibres sont maintenus et la dynamique économique promet des lendemains meilleurs », a-t-il aussi précisé. L’amélioration de la gouvernance et de la lutte contre la corruption entre autres ont permis à la Côte d’Ivoire de devenir, a-t-il révélé, la 9è économie du continent africain, la 3è économie d’Afrique francophone et la 2è économie de l’Afrique de l’Ouest après le Nigéria. Ainsi, depuis mai 2024, la Côte d’Ivoire est-elle le 3e  pays d’Afrique subsaharienne le mieux noté par Standard & Poor’s, a-t-il souligné devant le Parlement totalement subjugué. 

La Côte d’Ivoire continue-t-elle à bénéficier de la confiance des partenaires au développement bilatéraux comme multilatéraux et surtout du secteur privé, dont le taux d’investissement dans l’économie est ainsi passé de moins de 9% en 2011 à plus de 25% en 2023, a-t-il conclu sur ce chapitre, grâce à l’ensemble des performances réalisées. 

UNE VISION RÉALISTE ET PRAGMATIQUE D’UNE CÔTE D’IVOIRE UNIE,                          PROSPÈRE ET SOLIDAIRE

Autre axe et non des moindres abordé par le Président Alassane Ouattara ; sa vision de faire de la Côte d’Ivoire un pays uni, prospère, moderne et solidaire.

En effet, le Président de la République a dit son attachement à la démocratie, à l’Etat de droit, au respect des libertés fondamentales et à la consolidation d’une paix durable. « La liberté de la presse, la liberté d’expression et les libertés individuelles ont été renforcées. Ainsi, la Côte d’Ivoire a gagné 106 places au classement mondial de Reporters Sans Frontières, en passant de la 159e à la 53e place en 2024 », a-t-il annoncé.

Il a appelé par ailleurs à la consolidation des importants acquis enregistrés en matière de développement économique et social, ainsi qu’au maintien d’un climat de paix et de cohésion sociale. Certes, en dépit de la conjoncture mondiale difficile, le pays doit-il continuer d’améliorer sa performance économique, ainsi que le bien-être des populations, a-t-il insisté. 

Toute chose qui passe par la poursuite des efforts en matière de bonne gouvernance, d’amélioration continue de l’accès à l’éducation, la santé, l’emploi, au logement, à l’autonomisation de la femme, entre autres. S’agissant de  la problématique de la cherté de la vie, le chef de l’Etat a assuré que la Côte d’Ivoire s’est engagée sur la voie de solutions durables et ne compte pas changer de posture stratégique sur ce point.

UN INDICE DE SÉCURITÉ QUI S’EST CONSIDÉRABLEMENT AMÉLIORÉ

La sécurité des Ivoiriens  étant l’une des priorités de sa gouvernance, le Président Alassane Ouattara a affirmé que l’indice de sécurité en Côte d’Ivoire est passé de 6,8 en 2012 à 1,2 en janvier 2024.

Et cela « grâce à l’engagement continu de nos forces de défense et de sécurité […] c’est-à-dire le niveau de toutes les grandes villes mondiales. Et ce, malgré la situation sécuritaire difficile dans la sous-région », n’a-t-il pas manqué de préciser.

Le chef suprême des armées a salué les forces de défense et de sécurité ivoiriennes pour le courage et l’engagement dont elles font preuve au service de la nation : « Bravo à vous, officiers généraux et officiers supérieurs et à tous vos collaborateurs dans la hiérarchie », a-t-il félicité.

Pour le Président, la Côte d’Ivoire continuera de déployer d’importants moyens pour renforcer davantage les capacités techniques et opérationnelles de son armée au regard de sa position de puissance sous régionale. 

De ce fait, a-t-il renchéri, aucun effort ne sera ménagé pour que « le pays continue de demeurer une terre de paix, d’hospitalité et de sécurité pour tous ses fils et ses filles ainsi que pour tous les habitants de notre beau pays ». Et pour cause, a-t-il souligné « Sans paix, il ne peut y avoir de développement durable ».

UN ENGAGEMENT RÉSOLU À POURSUIVRE L’AMÉLIORATION                                                     DES CONDITIONS DE VIE DES IVOIRIENS

Comme l’on devait s’y attendre, connaissant son humanisme et son amour pour chaque Ivoirien, le Président Alassane Ouattara, n’a pas omis de réaffirmer son engagement à poursuivre l’amélioration des conditions de vie de ses concitoyens, pilier de tout développement. Aussi a-t-il déclaré : « Je tiens à vous rassurer que votre bien-être reste la préoccupation essentielle de mon action. C’est pourquoi, j’ai demandé au gouvernement de poursuivre ses efforts pour contrôler le coût d’électricité ».

Sachant qu’il était très attendu sur ce chapitre par ses compatriotes, le premier des Ivoiriens  a rassuré que conformément à son engagement d’atteindre un taux d’électrification de 100% à fin 2025, la Côte d’Ivoire est sur la bonne voie. Le taux de couverture est passé de 33% en 2011 à 86% à fin 2023. La question cruciale de d’eau potable, du taux de couverture en hydraulique urbaine estimé à 78% a été aussi abordée par Alassane Ouattara qui a aussi touché au secteur de la santé où désormais 72% des populations ont accès à un centre de santé à moins de 5 km à fin 2023.

Le Président de la République de Côte d’Ivoire pouvait-il ne pas évoquer les efforts qu’il consent inlassablement en faveur des Jeunes? Point du tout. Aussi, a-t-il affirmé que le programme jeunesse du gouvernement sur la période 2023-2025 a permis d’apporter une réponse concrète aux problèmes de la jeunesse.  L’Ecole de la deuxième chance et les centres de service civique ont contribué à l’insertion professionnelle des jeunes. 

Alassane Ouattara a aussi fait un clin d’œil aux vaillantes femmes ivoiriennes parlant de leur autonomisation grâce notamment au FAFCI qui a mis 80 milliards de FCFA à la disposition de 400 000 femmes de Côte d’Ivoire pour le financement de leurs activités.

L’une des cerises sur le gâteau de ce discours devant le Parlement réuni en congrès a été le retour sur la 34e Coupe d’Afrique des Nations de football que la Côte d’Ivoire a organisée avec brio et remportée avec éclat au grand satisfecit de l’instance continentale de gestion du football africain. 

« L’organisation de cette compétition a été considérée par le Président de la Confédération Africaine de Football (CAF), Patrice MOTSEPE, comme la compétition « la plus réussie » de l’histoire de la CAF, avec plus de 2 milliards de téléspectateurs dans le monde. Je voudrais réitérer mes félicitations au Premier Ministre Robert Beugré MAMBE, et à son Gouvernement pour l’important travail effectué pour la réussite de ce grand évènement. J’associe, bien évidemment, à ces félicitations la Fédération Ivoirienne de Football, le COCAN, la CAF et la FIFA. 

Cette belle réussite de la CAN nous a donné la preuve que lorsque les filles et les fils de notre pays se mobilisent pour un même objectif, chaque fois que la Nation est rassemblée, elle remporte de grandes victoires […] Le parcours extraordinaire de nos Éléphants doit être perçu comme une leçon de détermination, de courage et d’abnégation qui a permis de consolider notre unité nationale et d’ancrer en chacun de nous, l’adage populaire ivoirien selon lequel « découragement n’est pas ivoirien. Le rayonnement de la Côte d’Ivoire sur la scène internationale est aussi l’œuvre de tous ses enfants ».

En un mot comme en mille, cette adresse du Président de la République marquera à jamais les esprits et l’histoire de la Côte d’Ivoire moderne  car outre le fait d’avoir magistralement démontré que la Côte d’Ivoire a fait un bond de géant dans son développement, chose qui n’avait malheureusement pas été le cas depuis la disparition du père fondateur Félix Houphouët Boigny, Alassane Ouattara, le père du 2e miracle ivoirien a prouvé son amour pour la patrie et l’unité nationale. Des choses qui n’ont pas de prix.

Bamba Alex Souleymane

Journaliste Professionnel

PDG des Editions Dunuya Communication

Expert Consultant en Stratégies

Doctorant en Hautes Etudes Internationales

et des Civilisations

Agent d’affaires judiciaires assermenté

Juriste / Conseils

Chevalier de l’Ordre national (2006)

Officier de l’Ordre du Mérite ivoirien (2001)

Commandeur dans l’Ordre sportif (2010)   

Auteur : La rédaction

Source : Lemeridien

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