Il faut comprendre pourquoi le FPI grince des dents à la suite de cette décision du gouvernement de régler le cas des 62 milliards dormants.
Comme dit le sage africain, « A des funérailles, tout le monde pleure mais ce n’est pas tout le monde qui pleure le défunt ». Mieux tout le monde ne pleure pas pour la même raison. Pendant que certains pleurent la mort d’un ami, d’autres s’égosilleront pour des raisons toutes différentes. C’est ainsi que derrière les cris des Ivoiriens qui ne comprennent pas la démarche du gouvernement, se cache derrière, ceux du FPI, qui en réalité cachent des décennies de détournements d’argent. Il est su de tous que cette méthode de cacher l’argent volé du contribuable, était le fort, sinon le sport favori des refondateurs qui ont réussi par des tours de magie, à cacher des sommes faramineuses d’argent avec des noms d’emprunt. Blé Goudé lui seul avait à sa possession de multitudes de pièces d’identité, chacun surement avec son compte soit au Mali, soit au Ghana, en Sierra Leone et autres. Donc, ce qui fait crier les suppôts du FPI, c’est la trouvaille de gérer les comptes dormants par le gouvernement Ivoirien, ce qui ruine tout espoir pour eux, de redevenir ce qu’ils étaient, au détriment du pauvre peuple. Chacun pleure mais les cris du FPI sont plus semblables à celui du voleur qui crie afin de détourner l’attention du policier qui se trouve être sur la bonne piste menant à la taverne d’Ali Baba, pardon, de la refondation…
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