par AN | Lementor.net
La tension politique continue de monter à l’approche du scrutin présidentiel du 25 octobre 2025. Ce lundi 27 octobre, une convocation émanant de la police criminelle a été adressée à sept hauts responsables du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA).
Les personnalités concernées — Noël Akossi Bendjo, Sylvestre Emmou, Georges Philippe Ezaley, Augustin Dia Houphouët Yohou, Alain Cocauthrey, Roger M’Bia et Jean Kouakou Gnrangbé — sont appelées à comparaître ce mardi 28 octobre. Tous occupent des postes clés au sein du Front Commun PPA-CI / PDCI-RDA, la principale coalition de l’opposition.
Selon plusieurs sources proches du parti, cette initiative judiciaire intervient dans un contexte politique déjà tendu. Des voix internes y voient une tentative d’intimidation visant des figures de proue mobilisées contre le processus électoral en cours, que l’opposition juge opaque et déséquilibré.
Ces derniers jours, le Front Commun a intensifié ses prises de position publiques en faveur de la “défense de la légalité électorale” et d’une “alternance démocratique effective”, dénonçant des dérives institutionnelles et des restrictions des libertés politiques.
Jusqu’à présent, aucune précision officielle n’a été donnée sur les raisons exactes de ces convocations. Pour sa part, la direction du PDCI-RDA a condamné toute tentative d’intimidation et appelé au respect des droits fondamentaux de ses membres, tout en maintenant un appel au calme.
tension politique continue de monter à l’approche du scrutin présidentiel du 25 octobre 2025. Ce lundi 27 octobre, une convocation émanant de la police criminelle a été adressée à sept hauts responsables du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA).
Les personnalités concernées — Noël Akossi Bendjo, Sylvestre Emmou, Georges Philippe Ezaley, Augustin Dia Houphouët Yohou, Alain Cocauthrey, Roger M’Bia et Jean Kouakou Gnrangbé — sont appelées à comparaître ce mardi 28 octobre. Tous occupent des postes clés au sein du Front Commun PPA-CI / PDCI-RDA, la principale coalition de l’opposition.
Selon plusieurs sources proches du parti, cette initiative judiciaire intervient dans un contexte politique déjà tendu. Des voix internes y voient une tentative d’intimidation visant des figures de proue mobilisées contre le processus électoral en cours, que l’opposition juge opaque et déséquilibré.
Ces derniers jours, le Front Commun a intensifié ses prises de position publiques en faveur de la “défense de la légalité électorale” et d’une “alternance démocratique effective”, dénonçant des dérives institutionnelles et des restrictions des libertés politiques.
Jusqu’à présent, aucune précision officielle n’a été donnée sur les raisons exactes de ces convocations. Pour sa part, la direction du PDCI-RDA a condamné toute tentative d’intimidation et appelé au respect des droits fondamentaux de ses membres, tout en maintenant un appel au calme.
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