Guérilla urbaine contre les forces de sécurité : un commando à la solde de l’opposition se dévoile à Yopougon

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Guillaume Soro et ses alliés Henri Konan Bédié ont franchi une ligne rouge samedi 19 septembre 2020, marquant le jour du déclenchement de la rébellion armée du 19 septembre 2002.  18 ans après jour pour jour , l’on a eu en action des manifestants agissant  comme un commando armé et invisible, à Yopougon.

À défaut de réussir un coup d’état classique, les opposants ont choisi de harceler , et bientôt tuer les éléments des forces de sécurité , en espérant ainsi affaiblir leur moral , et parvenir à leur fin pour porter le coup fatal au pouvoir en place.

Cette tactique de 2011 de pro IB à Abobo qui avait effectivement mis à mal le camp Gbagbo, n’avait cependant pas été suffisante  pour parvenir à la chute de l’ex président tombé le 11 avril 2011.

À présent que l’on en sait un peu sur le mode opératoire choisi par Guillaume Soro, comme le 19 septembre 2002 ( un rebelle reste un rebelle ), nul doute que les dispositions nécessaires seront prises.

Il faut noter qu’avec insistance , et à plusieurs reprises Guillaume Soro a annoncé que l’élection présidentielle ne se tiendront pas le 31 octobre 2020.

Tout le monde se demandait sur quoi il comptait . L’on en sait un peu plus. Laurent Gbagbo et Konan Bedie font désormais partie de ses alliés pour la violence et les armes.

Ils doivent être traités de la même manière et la CPI a de la matière pour cas de récidive pour les Président Laurent Gbagbo.

Se disant le père du commando invisible, IB avait été tué à la suite de la chute de Laurent Gbagbo en 2011. De son côté, Guillaume Soro à la manière de IB envisage de se rapprocher d’Abidjan d’ici le 31 octobre 2020, pour parachever la rébellion de 2002, en se portant au pouvoir par les armes.

Auteur : La rédaction

Source : Lementor.net

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