Par La Rédaction – Dohtani Yeo
Dans un monde en turbulence, il faut des repères. Des hommes de calme dans le bruit. Des bâtisseurs quand tout vacille. En Côte d’Ivoire, ce repère s’appelle Alassane Ouattara. Depuis plus d’une décennie, il incarne la constance, la vision et l’autorité tranquille. Plus qu’un président, il est devenu un guide, dans le sens noble du terme : celui qui éclaire la route sans chercher les projecteurs.
De la sortie de crise à la transformation économique, le parcours est visible. Sous sa gouvernance, la Côte d’Ivoire est passée d’un pays hésitant à une locomotive régionale. Routes, ponts, centrales, zones industrielles, écoles, hôpitaux… le développement n’est plus un slogan, c’est une réalité mesurable, vécue, revendiquée.
Mais le leadership d’Alassane Ouattara ne se résume pas aux infrastructures. Il est surtout celui de l’équilibre et de la stabilité institutionnelle. Face aux crises politiques, il a su imposer la main ferme sans tomber dans l’autoritarisme. Dans les dossiers diplomatiques, il parle peu, mais chaque mot porte. Il est écouté à l’Union africaine, respecté à Paris, à Washington, à Beijing. Et surtout, il reste inébranlable dans sa défense des intérêts ivoiriens.
En interne, sa gouvernance repose sur une équation fine entre fermeté et inclusion. Le RHDP, sa famille politique, continue de s’affirmer comme une force de rassemblement, malgré les défis. Et si certains scrutent sa succession, tous reconnaissent que la ligne Ouattara — celle de l’efficacité, de la rigueur et de la paix — reste le socle de l’avenir.
Dans une Afrique en quête de repères, la Côte d’Ivoire avance. Et dans cette marche, Alassane Ouattara demeure le capitaine lucide, le stratège silencieux, le patriote inflexible.
Oui, dans les tempêtes du siècle, il nous faut un guide. Et le nôtre s’appelle Alassane Ouattara.
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