Par CB | Lementor.net
Le projet ECOTER prend son envol avec une ambition claire : donner aux collectivités territoriales ivoiriennes les moyens de mieux planifier et gérer leur développement. L’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER) en sera l’un des piliers, grâce à son expertise reconnue dans la mise en œuvre de programmes structurants, notamment dans l’agriculture et la gestion durable des ressources naturelles.
Pour le directeur général de l’ANADER, Dr Sidiki Cissé, l’enjeu est stratégique : « Notre rôle sera d’accompagner les collectivités dans l’identification, la planification et la réalisation de projets adaptés à leurs réalités. Cette mission s’appuie sur notre expérience du terrain et notre savoir-faire en matière de développement agricole et rural. »
Il a par ailleurs appelé ses équipes à s’investir avec rigueur et professionnalisme pour assurer la réussite de ce chantier national.
ECOTER mise sur une approche inclusive, associant autorités locales, leaders communautaires et partenaires techniques, afin de garantir des actions durables, efficaces et génératrices de valeur pour les territoires bénéficiaires.
De son côté, Dr Coulibaly Ouattara Rokia, représentante de la Cellule de gestion du projet, a rappelé que ce programme s’inscrit dans la dynamique de décentralisation amorcée depuis plusieurs décennies. « L’ANADER, grâce à sa présence sur le terrain et à son expertise, constitue un partenaire stratégique pour donner aux collectivités les moyens de mieux jouer leur rôle », a-t-elle insisté.
Soutenu par le Contrat de désendettement et de développement (C2D) et placé sous la supervision du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, ECOTER vise à améliorer les conditions de vie des populations dans huit régions : Bafing, Béré, Bounkani, Cavally, Gontougo, Tonkpi, Guémon et Worodougou.
Dans cette première phase, six régions bénéficieront du programme, avant une extension aux deux autres à travers de futures conventions.
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