L’ancien patron de Credit Suisse se retrouve dans la tourmente après avoir été condamné à verser 200’000 francs suisses à son ancienne femme de ménage. Ce verdict, rendu par un tribunal helvétique, marque un nouvel épisode judiciaire pour l’ex-dirigeant, dont le nom avait déjà été associé à plusieurs polémiques au cours de sa carrière.
La femme de ménage, employée par l’ex-banquier pendant plusieurs années, a porté plainte en accusant son ancien employeur de ne pas lui avoir versé ses salaires conformément aux termes de son contrat. Selon les documents judiciaires, elle affirme avoir été sous-payée et ne pas avoir bénéficié de certaines indemnités obligatoires, notamment pour les heures supplémentaires effectuées.
La défense de l’ancien patron de Credit Suisse a tenté de minimiser les accusations, qualifiant les réclamations de l’ex-employée d’exagérées. Toutefois, le tribunal a jugé que les preuves apportées par la plaignante étaient suffisantes pour justifier la somme réclamée.
Cette affaire jette une ombre supplémentaire sur la réputation de l’ex-dirigeant, déjà critiqué pour sa gestion controversée au sein de la célèbre banque suisse. Pour beaucoup, cette décision judiciaire rappelle l’importance de respecter les droits des employés, quel que soit leur statut.
Le tribunal a également rappelé l’obligation pour les employeurs de respecter les conditions de travail et de rémunération des employés domestiques, soulignant que personne n’est au-dessus de la loi, y compris les anciens patrons des plus grandes institutions financières.
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