Vérité ou intox. L’information est depuis quelques heures maintenant sur la toile. Elle alerte les autorités Ivoiriennes sur la présence de leur sol de terroristes venus du voisin Burkina Faso. Ceux-ci se cacheraient parmi les orpailleurs clandestins qui opèrent dans le pays.
Le journal Le Monde qui donne l’information depuis le 12 novembre 2019 et citant un représentant de l’Etat, est formel : « Il y a quelques mois, deux hommes armés et vêtus d’une cagoule auraient réussi à traverser le territoire ivoirien et à s’approcher des villages. Après avoir été dénoncés par des cultivateurs, ces derniers auraient rejoint le Burkina. Les deux individus étaient avec des kalachnikovs et ont menacé des paysans ».
Cette a occasionné une présence plus renforcée des militaires dans le but de mettre fin aux incursions. La quiétude des populations semblent perturbée ces dernier temps et le journal français semble connaitre la raison : « La présence massive des orpailleurs clandestins sur les terres qui renferment de l’or dans des localités du Nord de la Côte d’Ivoire. Parmi ceux-ci se cacheraient des terroristes », révèle-t-il.
Cette autre alerte est une autre interpellation des dirigeants qui doit redoubler de vigilance dans la surveillance des frontières.
Devant son homologue du Burkina Faso, Roch Kaboré, le Président Ivoirien, Alassane Ouattara avait dénoncé, le 31 juillet 2019 dernier, l’existence de cette pratique de l’orpaillage clandestin dans le nord pays lors des assises de la 8e Conférence du traité de l’amitié et de coopération (Tac) entre son pays et le Burkina Faso
A cette occasion, il affiché sa détermination de faire une analyse d’une urgence nécessité de la question qui est un danger pour l’économie te l’environnement et la santé des populations.
Ces paroles ont été suivies d’effets. Car depuis cette date plusieurs sites d’orpaillages clandestins ont été de destruction à travers tout le pays.
Cette autre alerte de présence de terroriste qui est à prendre au sérieux, vient tirer sur la sonnette d’alarme et appelle les autorités ivoiriennes à plus de vigilance.
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