La loyauté , la sincérité, la Charité sont des mots qui définissent l’homme. Yacine Idriss Diallo considère la haine ou l’admiration des uns et des autres comme des compliments qui l’aident à atteindre ses objectifs vers dans la vie. Vous l’aimez ? Vous ne l’aimez pas ? Cela n’influence en aucun cas son évolution. Les seules choses qui vaillent et qui importent chez lui, c’est son boulot, et surtout sa famille.
Yacine idriss Diallo Idriss est avant tout un fanatique du football. Une discipline qu’il n’a pas pratiquée au haut niveau car il n’a jamais été licencié dans un club. Sa passion pour le ballon rond le propulse à la tête de l’équipe de football de l’Abidjan Université Club (AUC) comme président, de 1980 à 1983. Ensuite L’ Asec Mimosas le coopte comme vice-président par la suite (1984-1998). Il entre à la Fédération ivoirienne de football (FIF) entre 1980 et 1990 en qualité de vice-président sous le mandat d’Ezan Emmanuel. Et depuis 2002, il est le 3ème vice-président de la FIF, chargé de la commission Marketing et Promotion.
Son amitié avec le président de la FIF, Jacques Anouma, date depuis 1984. Ils se sont rencontrés au comité exécutif de l’Asec. Jacques Anouma était trésorier et Yacine Idriss Diallo Vice président , quant à Dieng lui était président de la section football. Une amitié vieille de 27 ans.
Et comme la loyauté fait partie de son mode de vie, les deux hommes ne sont plus lâchés. L’amitié doublée de la compétence, il ne pouvait qu’être aux côtés de son « frère » Jacques.
L’actuel candidat à l’élection présidentielle de la FIF est titulaire d’une maîtrise en Mathématiques appliquées option recherches opérationnelles. Dans la pratique, il est cadre des services financiers et commerciaux. Diplôme qui lui a donné pour premier boulot, un poste de conseiller technique, sous-directeur administratif et financier à la fonction publique (1983-90). La RTI lui fait les yeux doux et l’engage comme directeur des affaires financières (DAF). Son aventure se poursuit dans la « maison bleue » qui dure deux ans de 1990 à 1992. Ses compétences sont, par la suite, reconnues par la Lonaci qui le débauche pour faire de lui son directeur commercial et marketing avant de passer Directeur général de 1992 à 2000.
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