Le Salon des études en Inde a officiellement ouvert ses portes ce vendredi au Palm Club d’Abidjan, sous l’impulsion de l’ambassade de l’Inde en Côte d’Ivoire. Un rendez-vous incontournable pour les élèves et étudiants ivoiriens désireux de s’orienter vers une formation de qualité à l’international.
Présidant la cérémonie d’ouverture, l’ambassadeur de l’Inde en Côte d’Ivoire, Dr Rajesh Ranjan, a salué cette initiative comme une véritable opportunité pour la jeunesse ivoirienne. « Ce salon ne se résume pas à un simple évènement. Il représente une véritable passerelle vers des possibilités infinies, en permettant aux étudiants d’entrer en contact direct avec des institutions académiques prestigieuses et de mieux orienter leur avenir », a-t-il déclaré.
Mettant en lumière la richesse du système éducatif indien, le diplomate a souligné sa capacité à allier tradition et innovation. Selon lui, cette combinaison unique prépare les jeunes non seulement à exceller dans leur parcours professionnel, mais également à s’épanouir personnellement.
À travers ce salon, les étudiants intéressés par des carrières dans les domaines de l’ingénierie, de la médecine, de l’art ou de l’entrepreneuriat peuvent bénéficier de conseils personnalisés dispensés par les représentants de huit grandes universités indiennes présentes pour l’occasion.
Pour sa part, Suresh Anand Mani, directeur du forum, a mis l’accent sur l’importance de cette édition 2025, qui voit la participation accrue d’établissements venus spécialement d’Inde pour présenter leurs offres de formation.
Le directeur général de YIES Africa, structure partenaire de l’évènement, a encouragé les parents à faire confiance au système éducatif indien. Il a également exhorté les élèves à bien s’informer sur les différentes filières proposées afin de faire un choix éclairé et stratégique pour leur avenir.
Organisé par TIES Global, le salon se tient les 18 et 19 avril 2025. L’objectif principal : rendre accessibles des études supérieures de qualité, reconnues à l’international, à des coûts raisonnables pour les familles africaines.
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