L’année 2015 qui commence se présente comme une importante étape dans l’histoire de la Côte d’Ivoire en donnant l’occasion au peuple de se prononcer sur le leadership qui lui convient, après la crise postélectorale de 2010-2011, elle-même consécutive à deux décennies de tourmente, de violence et de rupture de la cohésion nationale.

Les prochaines échéances électorales s’annoncent donc comme un test de la stabilité des institutions de la république, de la démocratie et du retour a une paix durable en Cote d’Ivoire.

Les organisations de défense des droits de l’homme  rappellent à la classe politique sa responsabilité dans la préservation de cette paix sociale et dans l’enracinement des acquis démocratiques qui sont le levain d’une société pluraliste aspirant à ouvrir le débat dans le respect des libertés d’opinion et d’expression.

Les organisations de défense des droits de l’homme constatent toutefois que l’imminence de la présidentielle de 2015  suscite : violences verbales, arrestations d’opposants politiques, insurrections militaires, procès politiques, caporalisation des medias d’Etat, querelles intestines entre partis politiques …  ce qui pourrait faire resurgir les passions et les extrémismes ayant conduit le pays aux portes du chaos dans un passé récent.    

Aussi, Les organisations de défense des droits de l’homme souhaitent une  conciliation dans l’exécution des missions régaliennes en appelle au sens de la pondération des leaders politiques.

Aux autorités nationales, ces organisations réclament une attention particulière aux acquis démocratiques sur lesquelles se reconstruit la société ivoirienne dans la liberté et le droit à la différence.

Aux autres acteurs politiques majeurs, ces organisations  invitent aux respects des lois et des institutions de la république en exerçant leurs droits civiques avec mesure et dans un esprit d’apaisement.

L’année 2015 doit être une année de renforcement de la démocratie de la consolidation de la paix sociale, et de la maturité politique du peuple de Côte d’Ivoire ; elle le sera si et seulement si, les leaders politiques et l’ensemble des ivoiriens sont convaincus que rien n’est plus grand que l’intérêt national et que rien n’est plus important que la cohésion nationale.

Les organisations de défense des droits de l’homme souhaitent une bonne et heureuse année 2015 au peuple de Côte d’Ivoire.       

LIDHO

APDH 

OIDH

RIDEFF

COFEMCI-REPC

L’année 2015 qui commence se présente comme une importante étape dans l’histoire de la Côte d’Ivoire en donnant l’occasion au peuple de se prononcer sur le leadership qui lui convient, après la crise postélectorale de 2010-2011, elle-même consécutive à deux décennies de tourmente, de violence et de rupture de la cohésion nationale.

Les prochaines échéances électorales s’annoncent donc comme un test de la stabilité des institutions de la république, de la démocratie et du retour a une paix durable en Cote d’Ivoire.

Les organisations de défense des droits de l’homme  rappellent à la classe politique sa responsabilité dans la préservation de cette paix sociale et dans l’enracinement des acquis démocratiques qui sont le levain d’une société pluraliste aspirant à ouvrir le débat dans le respect des libertés d’opinion et d’expression.

Les organisations de défense des droits de l’homme constatent toutefois que l’imminence de la présidentielle de 2015  suscite : violences verbales, arrestations d’opposants politiques, insurrections militaires, procès politiques, caporalisation des medias d’Etat, querelles intestines entre partis politiques …  ce qui pourrait faire resurgir les passions et les extrémismes ayant conduit le pays aux portes du chaos dans un passé récent.    

Aussi, Les organisations de défense des droits de l’homme souhaitent une  conciliation dans l’exécution des missions régaliennes en appelle au sens de la pondération des leaders politiques.

Aux autorités nationales, ces organisations réclament une attention particulière aux acquis démocratiques sur lesquelles se reconstruit la société ivoirienne dans la liberté et le droit à la différence.

Aux autres acteurs politiques majeurs, ces organisations  invitent aux respects des lois et des institutions de la république en exerçant leurs droits civiques avec mesure et dans un esprit d’apaisement.

L’année 2015 doit être une année de renforcement de la démocratie de la consolidation de la paix sociale, et de la maturité politique du peuple de Côte d’Ivoire ; elle le sera si et seulement si, les leaders politiques et l’ensemble des ivoiriens sont convaincus que rien n’est plus grand que l’intérêt national et que rien n’est plus important que la cohésion nationale.

Les organisations de défense des droits de l’homme souhaitent une bonne et heureuse année 2015 au peuple de Côte d’Ivoire.       

LIDHO

APDH 

OIDH

RIDEFF

COFEMCI-REPC